14éme tour de France motos anciennes du 20 août au 10 septembre 2016.

jacques a écrit:JPD, je connais bien le propriétaire de la NSU. Si tu veux, avec son accord, je pourrai te mettre ne contact avec lui si tu n'en as pas eu l'occasion aux étapes auxquelles tu as été présent.
La machine tourne effectivement comme une horloge excepté quelques problèmes de charge. 
Et comme c'est un allumage batterie/bobine.....
Mais comme presque toutes les bécanes elle est rentrée à bon port sans encombre.
Tour difficile, kilométrage quotidien élevé pour les anciennes, mais on avait payé pour ça !
Après c'est aussi à vivre de l'intérieur.

Merci Jacques pour ta proposition.
J'ai discuté longuement avec le propriétaire et ont a échangé nos adresses.

Jacques :
Mais comme il est coutume de cracher sur la production nationale, elle n'a pas eu le succès qu'elle aurait mérité.

Bravo Jacques,  félicitations d'avoir terminé


Une brave Terrot bien de chez nous, te lâche en route, cette année une vieille Anglaise de plus militaire , t’emmène à l'arrivé ,
et tu défends toujours la production nationale ...

Bravo à toi Jacques

Chapeau Jacques !

Ma Terrot était une 250 culbutée un peu "juste" pour effectuer ce genre de parcours.
La Norton est une 500 latérale bien plus adaptée : plus de réserve de puissance en particulier.
Ce qui n'empêche pas que j'aurais bien aimé trouver une moto française pour effectuer ce tour, mais elles sont devenues difficiles à trouver comme toutes les anciennes. Un coté cocardier sans doute !
Cette année, le parcours était difficile : environ 240 km de moyenne quotidienne sous une très forte chaleur. Parfois près de 40° dans le midi....
Presque toutes les motos ont accompli l'épreuve sans ennuis majeur.
Les BMW R 71 et mono ont parfaitement fonctionné.
Il y avait aussi une R 51/3 un peu trop proche d'une Série 2, trop parfaite et moderne comparée aux avant-guerre sans suspension arrière.
Pour reparler des Ratier, c'est étonnant de constater la méconnaissance générale du public vis-à-vis de ces excellentes bécanes.
J'ai eu l'occasion d'en essayer une il y a deux ans et c'est une vraie bonne surprise à la conduite. Mais comme je le disais plus haut, les motos françaises sont à priori des daubes qu'il n'est pas convenable d'avoir.
Ce tour a aussi été l'occasion pour moi de rencontrer quelques Flatistanais au fil des étapes, mais nous n'étions pas toujours disponibles pour échanger nos impressions. Qu'ils veuillent bien m'en excuser.
Bref, que du plaisir tout de même.

Félicitations d'etre arrivé au bout de cette épreuve!

Bravo en effet! sais tu Jacques si la BSA qui était tripes à l'air à Plaisance a terminé l'épreuve?

Quand à cette mésestime des flats Français, aussi bien Cemec que Ratier, elle est étonnante surtout quand on sait qu'une C6s est plus performante et agréable qu'une R60 et plus rare, mais pas plus recherchée pour autant.

Avantage: elles sont encore à des prix "raisonnables"

La BSA est repartie mais a abandonné à trois étapes du but.
Elle fumait assez fort des le lendemain de sa remise en route....
Il faut dire que son pilote ne la ménage guère, mais il n'a pas voulu prendre de risque et a arrêté avant de descendre définitivement le moteur.
Pour les performances des Ratier C6 ou L7, bien d'accord, ce sont des machines à découvrir. Mais elles sont devenues plutôt rare et les pièces difficiles à trouver. En ce qui concerne le prix d'accès, jette un œil sur le good corner et tu te feras une idée plus précise de leur côté abordable !

Merci pour ta réponse.
Je le voyais assez mal barré avec sa BSA

Pour les Ratier/Cemec, je mettais raisonnable entre guillemets.
Mais elles restent moins chères que bien des R50, et je ne parle pas des 69S.

Une très bonne bécane pour faire le tour serait la moto verte de Grouniache....

heu , v'ouais possible Jacques,

mais 3 semaines au camping , pas encore sur d'en avoir envie

Il faut etre jeune comme toi pour cela .

Y'a des camping avec bungalow....
Mais si tu veux faire l'étape du jour dans un temps correct inutile d'espérer griller ta clope toutes les heures.

jacques a écrit:Ma Terrot était une 250 culbutée un peu "juste" pour effectuer ce genre de parcours.
La Norton est une 500 latérale bien plus adaptée : plus de réserve de puissance en particulier.
Ce qui n'empêche pas que j'aurais bien aimé trouver une moto française pour effectuer ce tour, mais elles sont devenues difficiles à trouver comme toutes les anciennes. Un coté cocardier sans doute !
Cette année, le parcours était difficile : environ 240 km de moyenne quotidienne sous une très forte chaleur. Parfois près de 40° dans le midi....
Presque toutes les motos ont accompli l'épreuve sans ennuis majeur.
Les BMW R 71 et mono ont parfaitement fonctionné.
Il y avait aussi une R 51/3 un peu trop proche d'une Série 2, trop parfaite et moderne comparée aux avant-guerre sans suspension arrière.
Pour reparler des Ratier, c'est étonnant de constater la méconnaissance générale du public vis-à-vis de ces excellentes bécanes.
J'ai eu l'occasion d'en essayer une il y a deux ans et c'est une vraie bonne surprise à la conduite. Mais comme je le disais plus haut, les motos françaises sont à priori des daubes qu'il n'est pas convenable d'avoir.
Ce tour a aussi été l'occasion pour moi de rencontrer quelques Flatistanais au fil des étapes, mais nous n'étions pas toujours disponibles pour échanger nos impressions. Qu'ils veuillent bien m'en excuser.
Bref, que du plaisir tout de même.

Jacques tu me fais rêver mais je crois que les places sont limitées et que l’effectif est quasi bouclé d'année en année enfin tous les deux ans  ?   NON.  

Peux tu développer la petite phrase ?

Au sein du groupe et en fonction de tes trois participations, tu as certainement un avis intéressant sur les machines françaises pas convenables pour la sortie ! ...

Je disais ça par rapport à l'opinion commune à propos des motos française et non pas vis à vis de ce que l'organisateur en pense.
Bien sur qu'une belle moto française est admise sans difficultés à faire ce tour. 
Elles ne manquaient d'ailleurs pas au départ : Ratier, Cemec, Terrot, Monet-Goyon, Motobécane, Peugeot. Je ne crois pas avoir oublié de marque présente à ce tour.
Sans le moindre chauvinisme de ma part bien sur, la plus belle moto au départ de cette édition était une splendide Peugeot 515. Et pourtant il y avait du lourd au départ.
C'est une 500 Culbutée de grande classe de 1936 je crois. 
Machine dans son jus, non restaurée et redoutablement efficace, capable d'enrouler au delà de la vitesse légale sur les routes secondaires.
C'est toujours étonnant de découvrir les commentaires des badauds découvrant que notre pays a produit des motos de moyenne et grosse cylindrée. 
Il n'y a pas de machine plus "convenable" qu'une autre dès lors qu'elle est en parfait état mécanique, chose indispensable pour parcourir 250 bornes/jours pendant 3 semaines.
Maintenant, pour s'aligner au départ, il suffit de le vouloir, d'avoir une moto en bon état de fonctionnement (indispensable !) d'avant 1955 et trois semaines de son temps à consacrer à la chose.
L'effectif n'est pas bouclé sachant que les doyens de cette année avaient entre 78 et 80 printemps. Il est donc peu probable qu'ils soient tous au départ dans deux ans.... même si on le souhaite car ils n'y font pas de figuration.
Deux ans avant, beaucoup veulent y participer. Un peu moins quelques mois plus tard....
C'est une belle aventure humaine en groupe et aussi sur un plan personnel.
Je t'invite à consulter le site du Gavap sur lequel tu trouveras peut-être les précisions qui peuvent te manquer.
Et puis il faut bien commencer un jour aussi, non ?

Le tour de France du GAVAP, c'est un double défis. un défis humain et un défis technique. Il faut fiabiliser sa machine (250km par jour pendant 3 semaines) par un entrainement préalable ET de la machine ET du bonhomme  . Pour les machines pré WW2, on était pas né et ceux qui ont acheté les machines des années 30 sont aujourd'hui au repos longue durée. Il ne reste plus que la documentation papier de l'époque et les clubs 

Ce rallye fait partie de mes objectifs dans les années à venir    (je suis encore en activité comme on dit avec ma plus jeune fille encore dans les études à gros budget)